Mary-Kate and Ashley: Sweet 16

Prenez un GTA. Enlevez les voitures rapides, les courses-poursuites avec les flics, les armes à feux, la possibilité de rouler partout, les missions de « protections « et autres « persuasions » et rajouter 2 adolescentes aussi énervantes que commerciales, des missions aussi intéressantes qu’allez chercher la petite sœur au parc ou encore le linge au pressing et vous obtenez « Mary-Kate and Ashley :Sweet 16 ». Un jeu aussi insipides qu’une pizza sans tomates ni fromage fondu.
Pourtant le jeu partez avec quelques bonnes idées. Comme par exemple… euh attendez… si si je vais trouvez… Ah oui le réservoir d’essence. Quoique. Ce doit être un réservoir troué car on est obligés de faire le plein tout les 2 ou 3 km. Sinon il y a… euh… Non finalement il n’y a rien. Histoire prétexte (les deux ados viennent d’avoir leur permis et doivent gagner la confiance de leur parents), graphisme passé, musique horripilantes, tout les ingrédients sont réunis pour faire un mauvais jeu. Il n’y a bien que la jouabilité qui rehausse le tableau.
N’oublions pas non plus l’intelligence artificielle. Dans un jeu où il faut bien conduire, la conduite des autres automobilistes est affligeantes. Refus de priorité, virages pris n’importe comment… soit les américains conduisent comme ça, soit les développeurs du jeu ne savent pas conduire.
Bref, a moins que vous ayez une cousine que vous détestez et qui est fan des deux jumelles, N’ACHETEZ PAS ce jeu. Dites pas que vous n’êtes pas prévenu.

Graphisme : 6/20
Jouabilité : 8/20
Durée de vie : 3/20
Note 5/20